Entre un aller à Bordeaux, où il va assister au procès de Maurice Papon, et un retour introspectif à son adolescence, le narrateur d’Effroyables Jardins explore le lien entre le jardin de son histoire intime et l’effroyable terrain de la guerre 39-45, labouré par la haine et l’inhumain. Mais pourquoi André, l’instituteur, a-t-il toujours eu ce nez rouge vissé sur la bouille, ce fard blanc et cette perruque ridicule ?